Édito : “Partenaires, mais solidaires”
Par Alain Lovera – rédacteur en chef de la revue Trait d’Union
Nous avons pris l’habitude de considérer que notre monde est devenu un village. Pas seulement grâce à internet et aux réseaux sociaux, mais aussi en raison des partenariats ou alliances qui se sont constitués entre les différents groupes d’individus à la surface du globe.
Ces relations sont d’ordre économique, en raison d’intérêts financiers, d’ordre politique, en raison de considérations idéologiques, et même d’ordre militaire pour des motifs de sécurité.
L’actualité dramatique du conflit qui se déroule en Ukraine, et qui nous émeut au plus haut point, démontre à quel point nous sommes dépendants et interdépendants de ces partenariats de toutes natures qui régissent notre société. Et nous pouvons constater à quel point ces partenariats ne sont pas toujours gagnant-gagnant, à quel point ils nous ont enfermés dans le piège de la dépendance, par exemple : les occidentaux ont besoin du gaz russe, et c’est la vente de cette matière première qui permet de financer la guerre contre laquelle nous nous insurgeons.
Heureusement, il est un domaine où le partenariat est gagnant-gagnant : dans le domaine de l’humanitaire. Selon le principe que « l’union fait la force », la collaboration des associations humanitaires avec d’autres associations ou des financeurs philanthropiques, est toujours source de synergies positives. […]
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